IWALU

« Comme toutes les grandes histoires d’amour, elles ne finissent jamais » a écrit un jour Dolly Parton de Nashville, la blonde-type de la country américaine que les Français n'ont jamais vraiment comprise. C'est une longue histoire qu'elle a eu avec Carl Dean depuis l'âge de dix-huit ans ! Elle en a 79. Il est mort il y a deux mois, je l'apprends. RIP !
C'est elle qui avait écrit le tube planétaire Il will Always love you qui sera repris par Whitney Houston dans le film Bodyguard avec Kevin Costner. Elle a sa notice de six pages dans l'Encyclopedia Universalis (abonnez-vous) sinon plus accessible et raccourci sur Evene.

C'est comme elle est dans ce clip que je la préfère, sans la choucroute ; mais les poumons, elle n'y peut rien ! Naturelle quoique apprêtée et un peu retenue pour cette fois. Elle me rappelle quelqu'un qui participa à mon chavirage jadis :


If I should stay I would only be in your way So I'll go, but I know I'll think of you each step of the way And I will always love you I will always love you Bittersweet memories That's all I am taking with me Goodbye, please don't cry We both know that I'm not what you need But I will always love you I will always love you I hope life treats you kind And I hope that you have all That you ever dreamed of And I wish you joy and happiness But above all of this, I wish you love

Il y a aussi des chanteurs hommes qui se sont frottés à cette chanson culte, mais la mine est loin d'être épuisée puisque la jeune génération s'y met aussi comme l'anglaise Lucy Thomas qui a été excavée de l'anonymat par The Voice Kids en 2018 (enjoy !)

Sans transition ni sens :
Ordinavit in me caritatem Fulcite me floribus Stipate me malis Quia amore langueo Leva eius sub capite meo Et dextera illius amplexabitur me Adiuro vos filiae Hierusalem Per capreas cervosque camporum Ne suscitetis neque evigilare faciatis dilectam Quoadusque ipsa velit Ecce iste venit Saliens in montibus transiliens colles Similis est dilectus meus capreae Hinuloque cervorum En ipse stat post parietem nostrum Despiciens per fenestras Prospiciens per cancellos Surge propera amica mea Formonsa mea et veni Iam enim hiemps transiit Imber abiit et recessit Surge amica mea speciosa mea et veni Columba mea in foraminibus petrae in caverna maceriae Ostende mihi faciem tua.

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