Fatigue démocratique
Je ne sais qui a trouvé le premier l'expression "la pègre de la République" en parlant des prébendiers de gauche, mais il est certain que la nation s'ébroue maintenant, au moins dans les sondages, pour faire choir de son dos une classe politique qui est devenue de la crasse politique.
Les débats budgétaires sont un carnage en termes de crédibilité et le corps électoral semble décidé à foutre dehors tout ce vilain monde. Bardella vire en tête et de loin, et il ne fait aucun doute qu'une élection présidentielle avant la Noël porterait à l'Elysée la droite dure non compromise encore dans les jeux de pouvoir. Pour y faire quoi est une autre question, ou pas une question !
On comprend que la martingale trouvée par les algorithmes de campagne du candidat Macron qui poussaient au second tour un candidat-repoussoir facile à vaincre, ont essarté le champ électoral de tout contempteur normal, et ne reste debout que le candidat promu à dessein qui a imprimé son image dans l'esprit des gens aujourd'hui déçus. Macron leur a fait le lit, ils s'y couchent.
La démission du président étant exclue, c'est la dissolution inéluctable de l'assemblée nationale qui va démarrer la "Marche sur Rome". Et si le Front républicain ne fonctionne pas, le RN peut tout à fait tutoyer une majorité dans l'hémicycle. Le Menhir est mort trop tôt. Adepte de l'acte manqué, il aurait constaté que le vouloir le rendait possible ! C'était la logique de Bruno Mégret.
Je n'ose imaginer la bronca dans le Landerneau européen.
Les débats budgétaires sont un carnage en termes de crédibilité et le corps électoral semble décidé à foutre dehors tout ce vilain monde. Bardella vire en tête et de loin, et il ne fait aucun doute qu'une élection présidentielle avant la Noël porterait à l'Elysée la droite dure non compromise encore dans les jeux de pouvoir. Pour y faire quoi est une autre question, ou pas une question !
On comprend que la martingale trouvée par les algorithmes de campagne du candidat Macron qui poussaient au second tour un candidat-repoussoir facile à vaincre, ont essarté le champ électoral de tout contempteur normal, et ne reste debout que le candidat promu à dessein qui a imprimé son image dans l'esprit des gens aujourd'hui déçus. Macron leur a fait le lit, ils s'y couchent.
La démission du président étant exclue, c'est la dissolution inéluctable de l'assemblée nationale qui va démarrer la "Marche sur Rome". Et si le Front républicain ne fonctionne pas, le RN peut tout à fait tutoyer une majorité dans l'hémicycle. Le Menhir est mort trop tôt. Adepte de l'acte manqué, il aurait constaté que le vouloir le rendait possible ! C'était la logique de Bruno Mégret.
Je n'ose imaginer la bronca dans le Landerneau européen.
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